Le 06/03/2017 à 13:50, Jean-Baptiste a écrit :
Le 06/03/2017 à 01:51, Corina Roe a écrit :
> @José ... (I am trying to follow the conventions:)
>
> Désolée de ne pas avoir répondu plus tôt, mais j'ai dû interroger
> plusieurs personnes à Red Hat pour essayer de comprendre comment
> traduire les chaînes sont le format suivant, qui, semblent-il, sont des
> raccourcis de clavier (touches accélératrices) :
>
> Ena_ble direct kernel boot
>
> doit être traduit
>
> Activer le démarrage direct de noyau(-T)
>
> La clé (T) doit
> 1) correspondre à une lettre majuscule
> 2) se trouver en fin de chaîne
> 3) il ne doit pas y avoir d'espace avant la parenthèse
>
> Exemple en Japonais: 直接カーネル起動を有効にする(_B)
>
> (pas d'espace, en fin de chaîne, et B majuscule)
>
> ----- (hope this helps)
Effectivement, c'est la bonne façon de procéder pour les "accélérateurs"
(qu'on pourrait appeler raccourcis clavier), voici une explication que
je trouve "compréhensible" :
http://pology.nedohodnik.net//doc/user/en_US/index-mono.html#sec-poaccel
Les accélérateurs dépendent du logiciel, on peut mettre tout et
n'importe quoi, chaque projet fait son choix. Mais c'est généralement un
tiret-bas ou une esperluette.
bonne journée,
Bonjour,
Merci Corina et Jean-Baptiste,
Ne vous excusez pas les amis de tarder à répondre. Nous avons chacun(e)
nos obligations et c'est déjà bien que nous puissions travailler
ensemble en bonne intelligence.
J'ai lu ce que pointe le lien fournit par JB et c'est bien ce que je
pensais. La seule réelle difficulté est de ne pas créer trop de doublons
dans une même interface.
Par contre je ne comprends pas trop d'où sort le T dans ce que propose
Corina. Comment le traducteur peut-il le deviner ?
Concernant « passthrough », j'ai une tendance très marquée (et vous
l'avez déjà remarqué) à laisser le moins possible de mot non traduits
sauf s'il s'agit de noms propres (non de logiciel, de produit ou de
fonction dans un programme). « passthrough » veut bien dire « passe à
travers » et je ne vois pas pourquoi ça embarrasserait les francophones
alors que le mot d'origine n'embarrasse pas les anglophones. De plus, si
tous les traducteurs de la francophonie s'attendent les uns les autres,
jamais une traduction ne s'imposera.
Dernière question comment fait-on pour finaliser les chaînes « fuzzy »
que j'ai laissées ?